Misere blondum est -
Les bl
Les blondes, c’est bien connu, représentent l’archétype de la connerie ; d’ailleurs, si elles étaient moins connes, elles ne seraient pas blondes.
Ce sont les partenaires indissociables des magiciens : je viens, je te baise, je disparais.
Ne fais pas de promesse à une blonde que tu ne pourrais tenir : elle serait capable de te croire.
La blonde, n’ayant pas suffisamment de synapses susceptibles de se connecter, ne sait que sourire benoîtement aux flatteries ; comment réussirait-elle à décrypter un moindre sens caché…
La blonde n’est qu’un sexe sur son 31 et par conséquent sa conversation n’est pas trop fatigante.
La blonde n’a pas d’égo ; si elle en avait, elle aurait la décence de se teindre les poils.
Si une blonde ferme les yeux, c’est pour ne plus être vue, ainsi que pour éviter à autrui le spectacle pathétique de l’aquarium de son cerveau.
Ne fais pas à une blonde ce que tu ne voudrais pas que l’on te fasse.
Quand on aime les blondes, on aime véritablement le genre humain.
« Que veux-tu faire quand tu seras grande ?» «Je veux être blonde »
Cela se corse quand on prend une blonde pour une brune « à quoi penses-tu ? » Silence , comment s’en sortir ? …
La blonde, dès sa tendre enfance, a appris à arborer un sourire béat, ce qui amplifie son allure conne.
Paroxysme de la blonde : être blonde (donc conne), et jolie en plus. Là, on s’approche du protozoaire, de l’amibe ; que dis-je, de la moule (facile, celle-là).
La blonde n’est pas érotique, c’est une salope, une putain décérébrée. Comme un coussin inerte que l’on peut bourrer à l’envi ; à une blonde on peut tout faire avaler.
Amies blondes, unissons nos quelques neurones dégénérés pour former un organisme pensant.
Voilà les pensées tristes et amusées d’une blonde prise pour une conne.